464 248 entrées France au premier jour sur plus de 1000 copies France (1078), une moyenne par salle de 431 entrées, c'est du lourd, assez lourd on y reviendra?

Il faudra certainement un peu plus de potion magique pour dépasser les chiffres fabuleux des précédents épisodes.

« Asterix et Obelix: Mission Cléopâtre," avait réalisé un démarrage supérieur et spectaculaire avec 629 148 entrées sur 900 écrans. (Pour un cumul à 14.5 millions de spectateurs)

Les critiques ne sont pas tendres, mais la cible est jeune...et ne lit pas les critiques. Difficile d'imaginer que cette même cible aie pu échapper au battage médiatique sans précédent.

Le film écrase la concurrence en tous cas. Les 12 autres films sortis (en contre programmation ?) cumulent moins de 10% de ces chiffres

Sur Paris - Périphérie les 91 000 entrées du film, le classent à la 16ème place au Top Premier Jour de tous les temps.

Grosse production, budgets, superlatifs...Gros risque surtout avec un point mort aux environs de 8 M d entrées France.
C'est loin l'Amérique ? tais toi et rame Obélix, dommage Clavier n'est plus là pour donner un coup de pouce.

Ah et puis « Ave lui » ou sans lui... après tout c'est pas Delon qui fera vendre une entrée de plus sur cette cible ?

On l aimait bien dans sa retraite notre star AD

Bruno Chatelin

Interview avec Gérard Depardieu :
Avez-vous été surpris lorsque Thomas Langmann vous a dit que Clovis Cornillac allait jouer Astérix et non plus Christian Clavier ?

G.D. - Forcément. En même temps, ça m'a paru évident. Je me suis beaucoup amusé avec Christian. Sa force, c'est ce potentiel comique incroyable. Pourtant - et bien sûr, il n'est pas question de dire que l'un est meilleur que l'autre, ce n'est pas ça la question - je pense que c'est plus juste que Clovis soit Astérix. C'est un Astérix plus juste. Y compris dans le rapport qu'il a avec les choses à faire. Ce n'est jamais laborieux, c'est léger, mais ça va au bout, c'est profond. On sent qu'il a travaillé avec Peter Brook, comme moi avec Claude Régy. Pour faire des personnages de comédie comme Astérix et Obélix, qui sont des traits, presque des caricatures, il faut être costaud. Il ne faut pas faire de l'artifice, il faut être dedans...

Pour moi, il a tout de suite été Astérix. Dès qu'on s'est vus. Et ce sentiment a été renforcé dès qu'on a travaillé, grâce à ces attitudes physiques qu'il a trouvées et qui sont très vite devenues des réflexes.