Editor

Cher(e)s Ami(e)s, cher(e)s Cinéphiles, cher(e)s citoyen(ne)s,

L’heure est arrivée pour reserver vos places au Cinéma Grand Action à Paris pour découvrir les 7 films grecs inédits lors du prochain festival GrecDoc. Ce sera du 1er au 3 décembre prochain. Une nouvelle fois, le cinéma documentaire grec et ses cinéastes sont à l’honneur pour vous proposer de nouveaux regards sur la Grèce contemporaine, pour célébrer notre voisin du Sud-est de l’Europe dans toute sa diversité. Vous trouverez la programmation du festival et les liens pour reserver vos places ici: https://www.ecransdesmondes.org/grecdoc-2023/

Comme l’année dernière, les festivaliers auront la chance de rencontrer “en présentiel”, après la projection de leur film, les réalisateurs ou producteurs pour répondre à toute question que vous aurez envie de leur poser. Pour certains, nous cherchons encore des bénévoles qui seraient prêt à les héberger pour un jour ou deux lors de leur passage à Paris: n’hésitez pas à nous écrire (info@ecransdesmondes.org) si vous souhaitez les aider de cette manière.

Ensuite, Regards d’Iran, notre festival de documentaires iraniens se prépare également très activement: ce sera pour le premier week-end du mois de février 2024, on aura donc le temps d’y revenir. Nous cherchons encore des bénévoles pour nous aider à participer aux travaux de pré-sélection des films et à traduire les sous-titres….encore une fois, n’hésitez pas à nous écrire à cet effet à info@ecransdesmondes.org

Sinon, le monde continue à tourner dans un tourbillon de violences des extrémistes. On s’habitue tristement à la guerre en Ukraine. Mais on ne sait plus si on sera traité d’antisémite si on déplore les victimes palestiniens ou si on devient sionistes en réclament la libération des otages. Je trouve qu’il est très surprenant que le Moyen Orient reste encore une partie du monde contemporain qui divise au point qu’on perdrait presque (ou réellement?) la confiance dans l’intelligence humaine. Est-ce que le jour est encore tellement loin, celui où tous, nous acceptons que chacun de nous, sans exception aucune, à le droit à un endroit qu’il peut appeler son pays, où il est chez lui sans agression, sans remise en cause, sans devoir justifier son droit d’exister?

Face à cette terrible impasse du “pour ou contre”, saurons nous, un jour pas trop loin, comprendre que très souvent, les vraies solutions ne se résument pas à ce noir et blanc réducteur ? Quand comprendrons nous qu’elles se méritent à la fin d’un long et éprouvant voyage dans le respect du regard de l’autre, de son histoire, de sa culture, de sa vision du monde ?

Il y a des jours ou rester encore optimiste est un vrai défi !!

Ceci dit, je vous souhaite à toutes et à tous une belle deuxième moitié de novembre. 

Michel