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les rencontres et homages du Festival Théâtres au cinéma

20e Festival Théâtres au cinéma
Magic Cinéma de Bobigny (Seine-Saint-Denis)

du 20 mars au 5 avril 2009
L’audace d’une programmation ambitieuse, complétée chaque année par un ouvrage désormais de référence, la venue au Magic Cinéma de Bobigny de nombreuses actrices et acteurs, de réalisateurs aussi prestigieux que Manoel de Oliveira, Peter Brook, Andrzej Wajda, Margarethe Von Trotta, Patrice Chéreau, Alain Robbe-Grillet ou Raoul Ruiz, des membres de la famille et proches collaborateurs de Luis Bunuel, Joseph Losey, Jean Genet, Bernard-Marie Koltès, Pier Paolo Pasolini, Alberto Moravia, Marguerite Duras, Glauber Rocha, Robert Kramer, Serguei Paradjanov, Derek Jarman ou Jean Cocteau ont fondé la réelle reconnaissance dont jouit le festival “Théâtres au cinéma” à la veille de ses 20 ans.
Pour fêter cet anniversaire, le festival aura le plaisir d’accueillir le réalisateur italien Marco Bellocchio, qui l'ouvrira le 20 mars en compagnie d'Anouk Aimée, et rendra hommage à Carmelo Bene, cinéaste, metteur en scène et écrivain italien, disparu en 2002 : Dominique Bax et le Magic Cinéma promettent, à nouveau, une programmation riche et de qualité, de belles rencontres et des clins d’œil aux éditions précédentes.
La rétrospective intégrale est un des moments forts du festival. Elle sera donc consacrée cette année à Marco Bellocchio, dont le spectateur sera invité à faire, en sa compagnie, le chemin du parcours artistique, en goûter et en comprendre toute la richesse, les obsessions, les tentatives formelles, les évolutions et révolutions.
Marco Bellocchio présentera à Bobigny sa filmographie entre fiction, essai cinématographique et documentaire et parlera de sa passion pour les textes théâtraux qu’il a adaptés au cinéma. Soit 15 courts métrages, 20 longs métrages et une dizaine de documentaires.
À cette intégrale, s’ajoutera une carte blanche à Bellocchio qui lui permettra de montrer des films qu’il a aimés et qui ont compté pour lui.
Et Théâtres au Cinéma rendra hommage à Carmelo Bene, cinéaste italien également mais aussi metteur en scène. Son œuvre est l’une des plus originales qui soit. Seront présentés au public ses 9 films et une sélection de 18 films autour de son travail théâtral. Une table ronde sera conascrée à sa "parenthèse cinéma" le samedi 28 mars, à laquelle participeront notamment Laura Morante et Anne Wiazemsky.

•Magic Cinéma •Presse
01 41 60 12 34 Jean-Bernard Emery
www.magic-cinema.fr 01 55 79 03 43 / 06 03 45 41 84
jb.emery@cinepresscontact.com
www.cinepresscontact.com

LES RENCONTRES DU FESTIVAL

> Soirée d’ouverture

•Vendredi 20 mars
19h | Vernissage de l’exposition
Œuvres de Marco Bellocchio
20h30 | Le saut dans le vide
de Marco Bellocchio
En présence de Marco Bellocchio et
Anouk Aimée, comédienne

•Samedi 21 mars
18h | Master class de Marco Bellocchio
Animée par Michel Ciment, critique de cinéma
20h30 | Au nom du père
de Marco Bellocchio
En présence de Marco Bellocchio et Lou Castel

•Dimanche 22 mars
15h | Le metteur en scène de mariages
de Marco Bellocchio
En présence de Marco Bellocchio
et (sous réserve) Sergio Castellitto

•Lundi 23 mars à la MC 93
18h15 | Lecture : Macbeth Horror
Suite de Carmelo Bene
dirigée par Georges Lavaudant avec Astrid Bas
et André Wilms

•Mercredi 25 mars
19h | Siah Bâzi suivi de Shadi
de Maryam Khakipour
En présence de Maryam Khakipour

•Jeudi 26 mars
20h30 | La nuit de l’iguane
de John Huston
En présence de Georges Lavaudant
et des comédiens de la pièce La nuit de l’iguane.
•Vendredi 27 mars
20h30 | L’idiot de Pierre Léon
En présence du réalisateur Pierre Léon
et des comédiens
Avant-première suivie d’un show musical
par Pierre et Vladimir Léon

•Samedi 28 mars
18h15 | Table ronde : Carmelo Bene,
la parenthèse cinéma
avec Luisa Viglietti, Enrico Ghezzi,
Laura Morante, Jean-Paul Manganaro,
Anne Wiazemsky, Luca Buoncristiano et
animée par Cyril Béghin
21h | Richard III de Carmelo Bene
En présence de la comédienne Laura Morante

•Dimanche 29 mars
17h | Accident de Joseph Losey,
scénario d’Harold Pinter
Film présenté par Philippe Pilard,
spécialiste du cinéma britannique

•Lundi 30 mars
21 h | Sogni Infranti suivi de
Addio del passato de Marco Bellocchio
Documentaires présentés par
Marie-Pierre Muller

•Mercredi 1er avril
18h30 | La leçon de musique
de Carlo Crivelli
animée par Olivier Cachin
20h30 | Autour du désir
de Marco Bellocchio
En présence de Carlo Crivelli, compositeur
et (sous réserve) Claire Nebout, comédienne

•Vendredi 3 avril
20h30 | Lecture : A boccaperta,
scénario inédit de Carmelo Bene
Mise en espace : Saïd Ould-Khelifa,
Mise en musique : Marc Perrone,
avec deux comédiens
Suivie du film Salomé de Carmelo Bene

> Soirées de clôture
•Samedi 4 avril
20h30 | Notre-Dame des Turcs
de Carmelo Bene, copie neuve
En présence de Lydia Mancinelli, comédienne
et Mauro Contini, monteur

•Dimanche 5 avril
19h | La nourrice de Marco Bellocchio
En présence des comédiennes
Valeria Bruni-Tedeschi
et (sous réserve) Maya Sansa

MARCO BELLOCCHIO
“Parmi les cinéastes italiens de sa génération, Marco Bellocchio est certainement un des plus importants. Né en 1939 à Piacenza, il décide tôt de devenir comédien, mais intègre finalement le fameux Centro sperimentale, le Centre expérimental d’études cinématographiques de Rome. Dans ce lieu où fut conçu le néoréalisme et alors que
déboulent sur les écrans les prémices de l’œuvre des Taviani et de Pasolini, à l’orée des années soixante, Bellocchio tourne ses premiers courts métrages. Dès son premier long, il devient célèbre : Les Poings dans les poches, deux ans avant La Chinoise, de Godard, secoue déjà le cocotier de la révolte. Ce refus du conformisme petit-bourgeois, qui se décline dans le champ du familial et du sexuel tout autant que dans celui du politique, est encore aux commandes dans La Chine est proche, le sketch de La Contestation ou Viva il Primo Maggio rosso, titres évocateurs.
Bellocchio fait feu de tout bois, plutôt tendance gauchiste, dans des charges au vitriol : l’Église dans Au nom du père, la presse dans Viol en première page, l’armée dans La Marche triomphale. Moins provocateur dans la forme et l’outrance immédiate des sujets que Ferreri, il le rejoint dans sa critique sans concession de tous les appareils
de la société dominante. Plus tard, quand la psychanalyse deviendra essentielle dans son travail, on pourra se dire que tout cela avait à voir avec le meurtre du père.
Contrairement à nombre de ses pairs, le court métrage et le documentaire n’ont jamais été pour Marco Bellocchio un moyen d’accès à la voie royale du long métrage de fiction. Toujours, il a parcouru l’aller-retour entre les genres et les formes.
Tous ces films ne sont éloignés, pour certains en tout cas, qu’au niveau des apparences. Dans chacun on retrouvera des préoccupations communes, à condition de savoir les y rencontrer, tant Marco Bellocchio fait partie, pour le meilleur, de ces artistes obsessionnels qui ont un motif et s’y tiennent.”
Jean Roy, L'Humanité, 2 juin 2004

CARTE BLANCHE A MARCO BELLOCCHIO
“Ce sont des films très classiques qui me viennent à l’esprit…
Bien sûr il s’agit de films qui m’ont marqué et influencé, mais j’aurais peut-être dû privilégier des films moins connus, plus originaux…
Par exemple, j’ai tout de suite pensé à Octobre de Sergueï Eisenstein dont il y a d’ailleurs un extrait dans mon dernier film sur lequel je travaille actuellement au montage, car Octobre correspondait à la période historique à laquelle se déroule l’histoire de Vincere. L’histoire se passe en effet en 1917, et il y a cette scène où Mussolini lit la dépêche qui annonce la prise du pouvoir par Lénine. En réalité Mussolini s’est beaucoup inspiré de Lénine, il nourrissait une grande admiration pour lui, pour cet homme capable d’un coup d’état pour accéder au pouvoir, même si Mussolini par la suite accéda au pouvoir quant à lui de manière plus légale…
Pour le cinéma muet : Nosferatu de Murnau, évidemment ! Bien sûr je parle de films qui me sont très chers. Par exemple j’ai également utilisé un extrait du Kid de Chaplin dans mon dernier film. Dans une scène inventée, il n’y a aucune preuve historique, le personnage principal du film Vincere, Ida Dalser, alors qu’elle est internée dans un hôpital psychiatrique, assiste à une projection en plein air du Kid de Chaplin.
Difficile aussi de parler du cinéma muet, sans évoquer La passion de Jeanne d’Arc de Dreyer.
Parmi les réalisateurs importants à mes yeux, Michelangelo Antonioni, bien sûr ! L’Avventura,énorme succès en France, Le cri et le film qu’il fit juste après, Femmes entre elles.
De France, ceux que j’apprécie sont très nombreux, mais j’aime tout particulièrement Robert Bresson (j’ai même écrit une thèse sur lui), et, parmi tous ses films, tous ses chefs-d’œuvre, Un condamné à mort s’est échappé m’a toujours beaucoup impressionné, justement parce que le condamné réussit à s’échapper !… Il y a comme ça un lien avec Buongiorno, notte, avec Moro qui s’échappe. Mais comment ne pas citer Pickpocket, autre grand chef-d’œuvre ! Ce sont mes choix personnels, et de l’avis général ces films sont de grands classiques du cinéma.
Jean-Luc Godard ? Je dois d’abord préciser qu’à la différence de beaucoup de cinéastes italiens qui vénèrent Godard et qui l’ont beaucoup imité — il a été en effet la référence de nombreux réalisateurs pendant de longues années et Bernardo Bertolucci par exemple avait une admiration sans borne pour lui — moi par contre je m’intéressais beaucoup à ce qu’il faisait, je l’admirais aussi, mais sans pour autant l’idolâtrer.
Mais je dois dire que dans l’histoire du cinéma et surtout pour des réalisateurs de ma génération, À bout de souffle est effectivement un film révolutionnaire, davantage que le cinéma de Truffaut par exemple. C’est un film qui a profondément marqué son époque. Un autre chef d’œuvre, italien cette fois, et qui a marqué notre pays et le monde entier, c’est La dolce vita de Federico Fellini.”
Marco Bellocchio, décembre 2008

CARMELO BENE
“Le cinéma est né mort.”
“Je n’ai jamais vu un film trouer l’écran, pas même Godard en 68.”
“On peut tout au plus dire d’un film qu’il est bien tourné, oui, mais j’ajoute ‘bien tourné sur lui- même’.”
Voilà, parmi tant d’autres, quelques paradoxes de Carmelo Bene autour d’un moyen expressif qu’il a fréquenté
pendant six ans de paroxysme, de 1967 à 1973, “tournant” six films et semblant surtout quitter définitivement
le théâtre. Et en quittant le cinéma, Carmelo Bene a retrouvé un autre médium dans la télévision, où il a parfois
réélaboré quelques-uns de ses chefs-d’œuvre de théâtre.
Notre-Dame des Turcs (124 min / 1968)
Hermitage (25 min / 1968)
Capricci (95 min / 1968)
Don Giovanni (70 min / 1971)
Salomé (80 min / 1972)
Un Hamlet de moins (70 min / 1973)

“J’ai en moi le metteur en scène, l’acteur, le producteur, le showman, le chargé de relations publiques, tout.
Ce sont des millions de contradictions. Je les accepte toutes, je les assume.
Voyez-vous comment la politique devient de masse ? La masse de mes atomes.”
Carmelo Bene


RENCONTRE AVEC LAURA MORANTE
[Samedi 28 mars, 21h]
Laura Morante est aujourd’hui l’une des actrices italiennes les plus connues et appréciées sur la scène européenne. L’éloge le plus complet, on le trouvera dans les “Séductrices du cinéma italien” de Stefano Masi et Enrico Lancia (éd. Gremese International, Rome, 1997) : “Un visage pensif d’héroïne romantique, une féminité glaciale, des cheveux noirs souvent noués sur la nuque, une bouche douce mais intransigeante, des traits anguleux, un visage ovale très élégant sur un cou de cygne. Une créature de Modigliani. De grands yeux au regard intense, des jambes nerveuses, un port de danseuse. Dans un univers féminin de top models arrivistes avec des lèvres à la silicone, Laura Morante est un être rare.”
Avant d’aborder le cinéma, Laura Morante est deux ans durant membre du “Barefoot Dancers Group” puis elle rejoint la troupe de théâtre de Carmelo Bene et participe à la création parisienne de son “Marat / Sade” (1978) avant de jouer sous sa conduite en Italie, “Richard III” d’après William Shakespeare. Puis toujours avec Bene, Hamlet pour la télévision en 1974.
“Il est certainement vrai que je ne suis pas une actrice qui cherche la performance à tout prix, d’habitude je cherche à me mettre beaucoup au service du rôle que j’interprète. Je crois que tout film a une musique à laquelle chaque acteur doit s’adapter… Il n’y a pas une langue que je privilégie dans l’absolu. La seule chose qui m’intéresse vraiment, c’est de faire de beaux films, quel que soit le lieu. Le fait de jouer dans des langues toujours différentes me stimule et m’amuse beaucoup.
Par contre, parmi les réalisateurs que j’ai aimés le plus en tant que passionnée de cinéma je mets à la première place Cassavetes.”
Laura Morante. Propos recueillis par Daniele Zappalà

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